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Transmettre son patrimoine dans une famille recomposée

Assurance vie, testament ou encore donations, comment les Français appartenant à une famille recomposée* préparent-ils la transmission de leur patrimoine ?

Un sondage réalisé par l’Ifop pour l’Union Financière de France (UFF)** répond à cette question.

*Selon la définition de l’INSEE, une famille recomposée comprend un couple d’adultes, mariés ou non, et au moins un enfant né d’une union précédente de l’un des conjoints.

67 % des Français ont déjà mis en place un dispositif de transmission du patrimoine

S’ils sont 47 % à estimer que la gestion de leur patrimoine n’est pas complexe, 67 % des sondés déclarent avoir déjà mis en place au moins un dispositif dans l’objectif de transmettre leur patrimoine.

Parmi les dispositifs retenus, on trouve :

  • L’assurance vie pour 50 % des interrogés
  • Le testament pour 27 % des sondés
  • La donation pour 22 % des Français

Les préoccupations principales dans la gestion patrimoniale des familles recomposées

Interrogés sur leurs principales préoccupations, les membres de familles recomposées déclarent en priorité se soucier de l’avenir de leurs enfants (32 %).

Viennent ensuite :

  • la protection du conjoint actuel à 26 %
  • la constitution d’une épargne de précaution en cas de difficulté financière à 25 %
  • la couverture (pour eux-mêmes ou pour des proches) contre des risques éventuels liés à la perte d’autonomie à 19 %
  • la préparation de la transmission de leur patrimoine à 16 %
  • la constitution d’un complément de revenus pour la retraite à 16 %
  • l’optimisation de la fiscalité appliquée à leurs revenus et à leur patrimoine à 9 %
  • le financement de leurs projets personnels comme l’acquisition d’une résidence principale à 7 %
  • la perception d’un complément immédiat de revenus à 7 %

Des contrats d’assurance vie adaptés au nouveau statut familial

Après dissolution de leur précédente union, 71 % des Français ont adapté leurs contrats d’assurance-vie (ou de prévoyance) à leur nouveau statut.

45 % des interrogés ont quant à eux préféré souscrire un nouveau contrat.

Les enfants issus d’une première union peuvent être désavantagés

Dans le cadre d’un remariage, le conjoint survivant hérite un quart du patrimoine en pleine propriété. Cette part échappe ainsi définitivement aux enfants nés de la première union. Au décès du conjoint, elle sera en revanche transmise aux enfants de la seconde union.

Selon le sondage, 53 % des Français ont parfaitement conscience qu’au sein d’une famille recomposée, les enfants de l’un des époux ne sont pas les héritiers de l’autre.

L’avis de LINXEA

Quel meilleur cadre que l’assurance vie pour s’organiser librement ?

La rédaction d’une clause bénéficiaire adaptée prend tout son sens, et constitue aujourd’hui l’un des moyens les plus efficaces pour protéger ses enfants du premier lit.

N’oublions pas également que les droits du conjoint survivant peuvent être restreints dans le cadre d’un simple testament déposé chez son notaire.

Le pire serait de ne rien faire !

*Interviews réalisées par questionnaire en ligne du 15 au 25 juin 2018, auprès d’un échantillon de 4 085 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

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