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Carte de France immobilier

LES NEWS DE L’IMMOBILIER MAI

Paris compte 61,7% de locataires (chiffre INSEE). Selon l’étude LocService.fr le loyer moyen charges comprises pour se loger à Paris est de 1 079 € pour une surface moyenne de 31 m2.

Le marché locatif à Paris, Grenoble et Strasbourg

Paris compte 61,7 % de locataires (chiffre INSEE). Selon l’étude LocService.fr le loyer moyen charges comprises pour se loger à Paris est de 1 079 € pour une surface moyenne de 31 m2, ce qui correspond à un ratio de 35,13 €/m2, en augmentation de 3,13 % par rapport à 2017.

L’illustration ci-dessous résume les principaux chiffres :

Grenoble compte 59,2 % de locataires (chiffre INSEE). Selon l’étude LocService.fr le loyer moyen charges comprises pour se loger à Grenoble est de 558 € pour une surface moyenne de 38 m2, ce qui correspond à un ratio de 14,67 €/m2, en augmentation de 1,72 % par rapport à 2017.

Strasbourg compte 70,7% de locataires (chiffre INSEE). Selon l’étude LocService.fr le loyer moyen charges comprises pour se loger à Strasbourg est de 622 € pour une surface moyenne de 42 m2, ce qui correspond à un ratio de 14,81 €/m2, en augmentation de 4 % par rapport à 2017.

En Île-de-France, les prix des logements anciens sont en hausse de 4,2 % sur un an

Sur un an, les prix continuent de s’accroître à un rythme soutenu : +4,2 %. Les prix des appartements augmentent de 4,5 % sur l’année tandis que ceux des maisons augmentent de 3,5 %. Paris continue de tirer vers le haut les prix des appartements, même si la hausse dans la capitale est un peu moins marquée en fin d’année 2018 : +5,7 % sur un an au quatrième trimestre 2018, après +6,2 % au troisième trimestre et +7,2 % au deuxième trimestre.

Moindre hausse des prix de l’ancien en province

Sur un an, la hausse des prix reste moins importante qu’en Île-de-France : +2,8 % entre le quatrième trimestre 2017 et le quatrième trimestre 2018, après +2,7 % et +2,3 %, respectivement au troisième trimestre et au second trimestre. Contrairement à ce qui était observé fin 2017, la hausse annuelle est, fin 2018, plus importante pour les maisons (+3,0 %) que pour les appartements (+2,4 %).

Variations des prix des logements anciens en France métropolitaine sur les 12  mois de l’année 2018 :

France métropolitaine entière (appart. et maisons, toutes régions confondues)

+ 3,2%

Ile-de-France

+ 4,2%

Paris

+ 5,7%

Petite Couronne de Paris

+ 4,8%

Grande couronne de Paris

+ 1%

Province (appart. et maisons)

+ 2,8%

Province (appartements)

+ 2,4%

Province (maisons)

+ 3%

(INSEE. Informations Rapides No 48 Paru le 01/04/2019).

Les jeunes recherchent tous azimuts

Le baromètre de l’immobilier de Pierre et Vacances immobilier a analysé les pratiques immobilières et digitales de la génération « Millenials », autrement dit les 18 / 30 ans : 52 % d’entre eux ont recherché leur bien immobilier de manière classique, via les agents immobiliers et notaires, 43 % ont utilisé Internet pour trouver leur futur logement.

Paradoxe : des prêts immobiliers moins chers, mais des surfaces plus petites

L’Observatoire Crédit Logement/CSA constate qu’au cours des 12 derniers mois, les taux des crédits immobiliers ont diminué de 10 points de base, dans l’ensemble : de 9 points sur le marché des travaux (1.33 % en mars 2019) et de 10 points sur le marché de l’ancien (1.41 % en mars 2019) et sur celui du neuf (1.42 % en mars 2019).

Mais les prix de l’immobilier ayant augmenté plus fortement, dans les grandes villes, les particuliers peuvent acquérir moins de superficie en février 2019 qu’en février 2018. Par exemple, la surface habitable (en m2) achetée en 2019 à Toulouse (hausse de prix de 1,50% sur un an) fait 1,60 m2 de moins, à Paris (hausse de 6,10%) sur une année, la superficie est réduite de 3,70 m2. A Nice (hausse de 2,10%), l’acheteur perd 3,60 m2.