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Meilleurs placements pour les enfants

Quels sont les meilleurs placements pour les enfants ?

Se pencher sur les choix les plus judicieux en matière de placements pour les enfants constitue une préoccupation centrale pour de nombreux parents et grands-parents. Que l’objectif soit de les initier à l’épargne au travers d’un livret bancaire ou de bâtir une épargne à long terme avec une assurance-vie, les options sont nombreuses. 

Prudence cependant, des précautions particulières doivent être prises. On vous dit tout.

A noter : L’ouverture de tout produit d’épargne pour un enfant ne peut être réalisée que par ses parents ou par son ou ses représentants légaux. Même si les fonds proviennent d’une donation effectuée par les grands-parents par exemple, c’est aux représentants légaux qu’incombe l’ouverture ou la souscription du produit d’épargne.

L’épargne pour les enfants : où placer de l’argent ?

L’épargne pour les enfants vise à sécuriser leur avenir financier, anticiper le financement de leurs études supérieures ou contribuer à l’achat d’un premier logement.

Plusieurs produits d’épargne peuvent être souscrits pour un enfant, notamment le livret A, le Plan d’Épargne Logement (PEL), des livrets bancaires dédiés ou encore l’assurance-vie. Le choix de ces placements financiers dépend de plusieurs facteurs tels que la durée de l’épargne, le rendement attendu, le niveau de risque accepté et la flexibilité de retrait.

👉 Il est conseillé d’impliquer l’enfant dans la gestion de son épargne dès un certain âge pour l’initier à la responsabilité financière.

Quel compte épargne pour un enfant ?

L’épargne peut commencer dès la naissance. Il existe des livrets bancaires défiscalisés accessibles sans conditions de revenus, comme le Livret A, qui offre une épargne totalement sécurisée. À partir de 12 ans, des livrets spécifiques pour les jeunes sont accessibles, comme le Livret Jeune avec un taux de rémunération généralement plus avantageux.

D’autres options d’épargne existent, comme l’assurance-vie qui peut être souscrite au nom de l’enfant et offrent des perspectives de rendements plus élevés à long terme.

Le Livret A : un incontournable pour les enfants mineurs

Le Livret A est une des options d’épargne les plus populaires pour les enfants. Avec sa facilité d’accès et sa garantie de sécurité offerte par l’État, il permet aux parents de mettre de côté de l’argent pour leurs enfants de manière simple et sans risque.

Le livret A offre plusieurs avantages spécifiques :

  • Exonération fiscale : les intérêts générés sont totalement exonérés d’impôt sur le revenu et de prélèvements sociaux
  • Disponibilité des fonds : l’argent peut être retiré à tout moment sans frais
  • Taux d’intérêt garanti : le taux de rémunération est fixé par l’Etat

Mais, le Livret A présente aussi quelques limites : un seul livret A peut être ouvert par enfant, et son plafond est de 22 950€.

En pratique : l’enfant mineur a la possibilité de détenir un livret A et d’y effectuer des dépôts sans intervention d’un représentant légal. Cependant, il doit atteindre l’âge de 16 ans pour être en mesure de retirer des fonds seul.

Le Livret Jeune : une option intéressante à partir de 12 ans

Accessible dès 12 ans, le Livret Jeune peut être intéressant. Son ouverture peut être initiée par l’enfant lui-même, avec l’accord de ses parents. Exempt de risque de perte en capital, il offre comme le livret A une disponibilité immédiate des fonds.

Le Livret Jeune sert un taux de rémunération minimum de 3% en 2024, une rémunération garantie jusqu’au 31 janvier 2025. 

Le Livret Jeune est proposé par toutes les banques traditionnelles. Souvent plébiscité par les parents qui souhaitent constituer une épargne pour leurs enfants, ce livret est soumis à un plafond de versements de 1 600 € seulement (hors capitalisation des intérêts). 

Tout comme le livret A, le Livret Jeune est totalement exonéré d’impôts sur le revenu et de prélèvements sociaux. 

En pratique : Pour effectuer des retraits avant les 16 ans de l’enfant, l’autorisation des représentants légaux est requise. Entre 16 et 18 ans, l’enfant a le droit d’effectuer des retraits seul, sauf si ses représentants légaux s’y opposent. La détention du livret Jeune est limitée jusqu’à l’âge de 25 ans.

Le PEL et le CEL : des plans d’épargne logement adaptés aux mineurs ?

Le Plan d’Épargne Logement (PEL) et le Compte Épargne Logement (CEL), axés sur le financement de projets immobiliers, peuvent aussi être ouverts dès la naissance de l’enfant.

Pour ouvrir un PEL ou un CEL, un dépôt initial est requis : 225€ pour le PEL et 300€ pour le CEL. Le PEL impose ensuite un versement annuel minimum de 540€.

Ces plans d’épargne offrent une rémunération garantie : 2,25% pour le PEL et 2% pour le CEL. Ils permettent également d’acquérir des droits à prêt immobilier à des taux avantageux et une prime d’État sous certaines conditions.

Les PEL ouverts à partir de 2018 sont soumis au prélèvement forfaitaire unique de 30% (dont 17,2% de prélèvements sociaux et 12,8% d’impôt sur le revenu).

En pratique : En cas de détention simultanée d’un PEL et d’un CEL, ils doivent être domiciliés auprès du même établissement. Jusqu’aux 18 ans de l’enfant, c’est le représentant légal qui gère le plan d’épargne. Les fonds peuvent être retirés à tout moment, mais des pénalités peuvent s’appliquer si le retrait intervient avant un certain délai (2 ans pour le PEL, aucun délai pour le CEL).

D’autres options d’épargne existent, comme l’assurance-vie qui peut être souscrite au nom de l’enfant et offre des perspectives de rendements plus élevés à long terme.

Les placements en assurance vie pour les enfants

L’assurance vie est une solution d’épargne particulièrement intéressante pour les enfants. Elle permet de constitueassurance-vie qui peut être souscrite au nom de l’enfantr un capital qui sera disponible une fois l’âge adulte atteint. De plus, l’assurance vie offre une grande souplesse en termes de gestion et de choix d’investissement. 

Il est possible d’ouvrir un contrat d’assurance vie au nom de l’enfant mineur. Les versements effectués sur le contrat sont alors considérés comme des donations.

  • Les types de supports :
    • Les fonds en euros pour securiser le capital
    • Les unités de compte investies en actions pour un investissement dynamique

L’assurance-vie est également un outil de transmission patrimoniale avantageux grâce à son cadre fiscal privilégié. En effet, en cas de décès du souscripteur, le capital accumulé est transmis au bénéficiaire désigné sans droits de succession jusqu’à un 152 500 €.

Avantages et inconvénients de l’assurance-vie pour un enfant

L’assurance vie est un produit d’épargne qui présente de nombreux avantages pour les enfants mineurs. Elle permet de :

  • Ouvrir un contrat d’épargne au nom du mineur : l’enfant se constitue un capital qui lui sera propre dès sa majorité.
  • Assurer la protection économique du mineur : l’enfant recevra un capital qui lui permettra de subvenir à ses besoins.
  • Valoriser un capital sur un horizon long terme : L’assurance vie est un produit d’épargne à long terme, qui permet de bénéficier d’une fiscalité avantageuse après 8 ans.
  • Bénéficier de rendement supérieur aux livrets d’épargne.
  • Pas de plafond de versement : contrairement aux livrets réglementés, il n’existe pas de plafond de versement pour l’assurance vie, ce qui permet aux parents de verser autant d’argent qu’ils le souhaitent.
  • Alimentation possible avec des présents d’usage. L’assurance vie peut être alimentée avec des présents d’usage, qui sont exonérés de droits de succession.
  • Prendre date pour bénéficier des avantages fiscaux de l’assurance-vie. L’ouverture d’un contrat d’assurance vie avant la majorité de l’enfant permet de prendre date pour bénéficier des avantages fiscaux de l’assurance-vie, notamment l’abattement de 4 600 € sur les gains après 8 ans de détention.
  • Contrôle gardé par les parents. Les parents conservent le contrôle du contrat d’assurance vie jusqu’à la majorité de l’enfant. Les retraits effectués par l’enfant avant sa majorité sont soumis à l’accord de ses représentants légaux.

L’assurance vie est un produit d’épargne qui présente également quelques inconvénients pour les enfants mineurs. En effet, elle :

  • Nécessite l’accord des parents : Les 2 parents doivent être d’accord pour ouvrir un contrat d’assurance vie au nom de leur enfant mineur. Le parent unique (si seul détenteur de l’autorité parentale) ou le tuteur peuvent également ouvrir le contrat. En cas de désaccord, le juge des tutelles doit donner son autorisation.
  • Limite la liberté de désignation du bénéficiaire. La clause bénéficiaire du contrat d’assurance vie souscrit au nom d’un enfant mineur doit prévoir uniquement la mention “mes héritiers” jusqu’à ses 16 ans. Après 16 ans, l’enfant peut soit opter pour la désignation “mes héritiers” soit désigner par testament un bénéficiaire dans la limite de la moitié de la quotité disponible de sa succession.
  • Peut impacter l’abattement fiscal des parents. Si le contrat d’assurance vie du mineur a plus de 8 ans, l’abattement fiscal de 4 600 € (ou 9 200 € pour un couple) s’applique par foyer. Les rachats sur le contrat du mineur impactent donc l’abattement utilisable par ses parents sur leurs propres contrats.

Le LEP, une solution d’épargne pour les revenus modestes

Le Livret d’Épargne Populaire (LEP) est une alternative intéressante pour les familles à revenus modestes. Destiné aux personnes âgées de 18 ans minimum dont le revenu fiscal de référence ne dépasse pas un certain plafond, ce livret réglementé offre une rémunération plus avantageuse que celle du Livret A. 

En 2024, le taux d’intérêt est fixé à 6% – il passera à 5% le 1er février –  ce qui en fait un placement attractif pour ceux qui y sont éligibles. Le plafond des dépôts atteint 10 000 euros en 2024 (capitalisation des intérêts comprise).

Le LEP est défiscalisé et garantit le maintien du pouvoir d’achat des épargnants grâce à son taux supérieur à l’inflation. 

En pratique : Une personne ne peut détenir qu’un seul LEP. Les conditions d’éligibilité sont basées sur le revenu fiscal de référence de l’année N-2. 

Acheter des parts de SCPI pour ses enfants ?

L’achat de parts de SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier) constitue une autre alternative pour ceux qui souhaitent préparer l’avenir financier de leurs enfants. Ces produits d’investissement reposent sur l’achat d’un patrimoine immobilier locatif, dont la gestion est déléguée à une société de gestion.

Les rendements, variables selon les SCPI, peuvent atteindre jusqu’à 7%. Cette option présente plusieurs avantages :

  • La possibilité d’investir avec des montants faibles
  • La mutualisation des risques liés à l’investissement immobilier
  • Une gestion déléguée : le parent n’a pas à s’occuper de la gestion locative
  • Un potentiel de capitalisation : les revenus générés peuvent être réinvestis pour accroître le capital.

Il est également possible d’acheter les parts en nue-propriété pour les enfants, permettant ainsi d’investir à moindre coût. En effet, les parents peuvent conserver l’usufruit des parts (les revenus) et donner la nue-propriété à leurs enfants. Une stratégie intéressante pour préparer une transmission patrimoniale.

Comment fonctionne le PEA jeune ?

Le PEA jeune, mis en place par la loi PACTE de 2019, s’adresse aux jeunes de 18 à 25 ans encore rattachés au foyer fiscal de leurs parents. Il fonctionne comme un PEA classique, permettant d’acquérir et de gérer un portefeuille d’actions d’entreprises européennes, tout en bénéficiant de conditions fiscales avantageuses. 

Le plafond de versement est de 20 000€ (contre 150 000€ pour le PEA classique). Les fonds sont disponibles à tout moment, mais des restrictions peuvent s’appliquer si le retrait intervient avant 5 ans. 

Le PEA jeune se transforme automatiquement en PEA classique à la fin du rattachement au foyer fiscal des parents.

Avantages et inconvénients du PEA pour un enfant

Le PEA pour un enfant offre des avantages indéniables. Il permet d’initier les jeunes à l’investissement en bourse et de développer une épargne à long terme. Il offre une fiscalité avantageuse si les retraits sont effectués après 5 ans, avec une exonération d’impôt sur les gains. De plus, le PEA jeune se transforme automatiquement en PEA classique lorsque l’enfant n’est plus rattaché au foyer fiscal des parents.

Cependant, ce placement comporte aussi des inconvénients. Le plafond de versement est limité à 20 000 € pour le PEA jeune, ce qui peut restreindre l’épargne. De plus, le PEA est un produit de placement en actions, donc il est soumis aux fluctuations du marché, ce qui peut entraîner un risque de perte en capital. Enfin, si les retraits sont effectués avant 5 ans, les avantages fiscaux sont perdus.

La gestion des biens des enfants mineurs par leurs parents

En France, les parents sont les administrateurs légaux des biens de leurs enfants mineurs. Cela signifie qu’ils ont la responsabilité de gérer ces biens et d’en percevoir les fruits, c’est-à-dire les revenus.

Ce droit de jouissance s’applique à tous les biens de l’enfant mineur, sauf exceptions (biens acquis par le travail de l’enfant, biens donnés ou légués avec mention expresse que les parents n’en jouiront pas, etc.).

La fin du droit de jouissance : Le droit de jouissance des parents prend fin à la majorité de l’enfant (ou à son mariage avant cet âge), en cas de fin de l’autorité parentale ou de l’administration légale (retrait de l’autorité parentale, émancipation, décès, etc.) ou par les causes qui emportent l’extinction de tout usufruit (perte du bien, décès de l’usufruitier, etc.).

Le contrôle des parents : Les parents sont responsables de toute faute qu’ils commettent dans la gestion des biens de leur enfant mineur. L’enfant peut agir en responsabilité contre ses parents dans les 5 ans qui suivent sa majorité ou son émancipation.

Les obligations des parents : En plus de ces obligations, les parents sont tenus d’adopter une gestion prudente du patrimoine de leur enfant mineur. Ils peuvent être amenés à établir un compte de gestion annuel du patrimoine de leur enfant, si le juge des tutelles le demande.

Les différents types de comptes bancaires pour mineur

Un livret d’épargne bancaire ou un compte d’épargne bancaire peut être ouvert au nom de l’enfant mineur par ses représentants légaux. Les modalités de fonctionnement sont établies conformément aux conditions prévues par la banque.

À partir de quel âge peut-on ouvrir un compte bancaire ?

À partir de l’âge de 16 ans, l’enfant mineur peut, sous réserve de l’autorisation de ses représentants légaux, ouvrir un compte bancaire, lui permettant ainsi de disposer d’une carte bancaire et d’un chéquier.

A noter : Les représentants légaux demeurent responsables des fonds et des transactions effectuées sur les comptes du mineur. De plus, ils sont tenus aux dettes éventuelles contractées par le mineur.

Peut-on ouvrir un compte pour son petit-fils ?

En tant que grand-parent, vous pouvez ouvrir un compte pour votre petit-fils. Cependant, cette démarche nécessite l’autorisation des parents de l’enfant.

Diverses options s’offrent à vous, allant du compte courant traditionnel aux livrets d’épargne tels que le livret A ou le livret Jeune, ou encore une assurance-vie.

Pour un petit-fils majeur, une autre option serait de recourir à la procuration bancaire pour pouvoir gérer son compte.

Comment bien placer l’argent de ses enfants ?

Pour placer efficacement l’argent de vos enfants, plusieurs options s’offrent à vous.

  • Investir dans des fonds en euros : idéal pour les jeunes, ces fonds présentent un risque faible tout en offrant un rendement stable.

  • Ouvrir un Plan d’Épargne en Actions (PEA) : ce produit permet d’investir en bourse et s’avère intéressant pour une épargne à long terme.

  • Investir dans l’immobilier via les SCPI : les Sociétés Civiles de Placement Immobilier offrent un rendement attractif et permettent d’investir dans l’immobilier sans nécessiter de grosse somme initiale.

  • Souscrire une assurance-vie : cette option offre une grande flexibilité et peut être avantageuse fiscalement.

  • Ouvrir un Plan d’Epargne Logement (PEL) : ce produit offre un taux d’intérêt garanti et permet de préparer un futur projet immobilier.

Il est essentiel de diversifier les placements et de réévaluer régulièrement la stratégie d’investissement en fonction de l’âge de l’enfant et de ses futurs besoins.

Quel montant mettre de côté pour son enfant ?

Déterminer quel montant mettre de côté pour son enfant dépend de plusieurs facteurs.

Tout d’abord, il est essentiel de prendre en compte vos capacités financières. Il ne faudrait pas que ces économies mettent en péril votre propre équilibre financier.

Ensuite, il est recommandé de définir un objectif d’épargne clair : financer les études supérieures de votre enfant, contribuer à un premier achat immobilier, prévoir un matelas de sécurité, etc.

La durée d’épargne est aussi un critère important. En effet, plus la période d’épargne est longue (dès la naissance par exemple), plus le montant à épargner mensuellement sera faible pour atteindre un même capital.

Pour vous aider à estimer le montant à épargner, plusieurs simulateurs en ligne sont disponibles. Ils prennent en compte le rendement du placement choisi, la durée d’épargne et l’objectif de capital à atteindre.

Quel produit d’épargne choisir en fonction de l’âge de l’enfant ?

  • Pour les nouveaux-nés et les très jeunes enfants : le Livret A et l’assurance-vie sont des options courantes, permettant de commencer à constituer une épargne sécurisée.
  • À partir de 12 ans : l’ouverture d’un Livret Jeune peut être envisagée, offrant un taux d’intérêt généralement plus attractif.
  • A partir de 18 ans, le Plan d’Épargne en Actions (PEA) peut être une solution pertinente pour les jeunes intéressés par les placements boursiers.

Les erreurs à éviter lorsqu’on choisit un placement pour son enfant

Lorsqu’il s’agit de choisir un placement pour son enfant, certaines erreurs peuvent nuire à l’efficacité de l’épargne : 

  • évitez de mettre tous vos œufs dans le même panier, la diversification est essentielle. Ne misez pas tout sur un seul type de placement, tel que le Livret A ou le Livret Jeune. Variez les placements en investissant également dans des options plus rentables sur le long terme, comme l’assurance-vie, voire les SCPI.
  • n’oubliez pas que l’épargne pour votre enfant est un investissement à long terme. Ne cédez pas à la tentation de retirer les fonds prématurément, sauf en cas de réel besoin. 
  • ne sous-estimez pas l’importance de l’éducation financière. Impliquez votre enfant dans la gestion de son épargne dès qu’il est en âge de comprendre. Cela l’aidera à prendre conscience de la valeur de l’argent et à développer des compétences financières.

Quel compte ouvrir pour un bébé ?

Pour un bébé, le livret A est l’option la plus couramment choisie. Accessible à tous, il peut être ouvert dès la naissance de l’enfant. Il offre une rémunération garantie, actuellement fixée à 3%, et les fonds sont disponibles à tout moment.

Mieux que le livret A, l’assurance-vie est une option à envisager sérieusement, notamment pour sa flexibilité et son potentiel de rendement à long terme. Elle peut être souscrite au nom de l’enfant par ses représentants légaux.

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